« Je suis épuisée, il est temps que je tire ma révérence » #Justice
En 2012, avant de se donner la mort, une cadre salariée de l’enseigne Tati décrit dans des lettres le calvaire que lui faisait subir sa supérieure. Devant la cour d’appel, celle-ci nie avoir fait régner un climat de terreur, malgré de nombreuses preuves.