La vague de licenciements dans l’industrie allemande s’amplifie. Après des suppressions de postes dans l’équipement automobile et les outils de bricolages, Bosch licencie dans l’électroménager.

Le cabinet Michael Page a constaté une baisse de la demande de 15 % en France en 2023. Hays évoque même une chute de 25 % au quatrième trimestre. Le secteur bancaire avait fait le plein en 2022, avec une spectaculaire hausse des embauches de 21 %.

Le syndrome de la chaise vide ou le besoin de pourvoir rapidement un poste laissé vacant peut entraîner des conséquences néfastes pour l’entreprise. En effet, un recrutement précipité peut s’avérer, in fine, onéreux et contre-productif. Quels sont les risques liés à cette embauche accélérée et comment éviter ses écueils ?

Aux bonnes nouvelles, comme le démarrage record du dernier « Zelda », se superposent les plans de licenciements qui se multiplient dans l’industrie du jeu vidéo. Une industrie à deux vitesses dans lesquelles les plus gros prospèrent, mais les petits sont à la traîne.

Chaque emploi est composé de dizaines de tâches. Les différentes formes d’intelligence artificielle permettent d’en automatiser certaines. Il va falloir tout recomposer

Si 2023 a été un beau millésime en matière d’emploi des cadres, la deuxième partie de l’année a été marquée par un net ralentissement des recrutements. Un mouvement qui va se poursuivre au début de 2024, selon le dernier baromètre trimestriel de l’Apec publié ce jeudi.

Des annonces devraient être faites lundi aux salariés, selon nos informations. Elles s’inscrivent dans le cadre des économies souhaitées par le nouveau patron Slawomir Krupa, et annoncées dans le plan stratégique.