L’hôpital public fait silence pour se faire entendre #Hôpital
Chaque vendredi, des hospitaliers se recueillent une minute pour conjurer la « mort programmée de l’hôpital public ». Car aucune promesse politique n’est tenue : les soignants partent, les lits ferment et les patients dorment sur des brancards dans les couloirs des urgences.