Quiet quitting : et si la raison était surtout un sentiment d’injustice ? #Management
Après la « grande démission », un autre phénomène préoccupe de plus en plus d’entreprises : le « quiet quitting », ou « démission silencieuse ». Plutôt que de démissionner, les salariés concernés se contentent de faire le strict minimum. S’agit-il de paresse ? D’une autre vision du travail et de la place qu’il doit (ou ne doit pas) prendre dans la vie ? Ou encore de l’un des symptômes d’un désengagement plus profond ? Pour Adrien Chignard, psychologue du travail, le quiet quitting est étroitement lié à un déficit de justice organisationnelle au travail.