Pour la première fois, Google, Amazon, Facebook et consorts se heurtent au mur de la réalité. Confrontés à un retournement économique, leur réponse est semblable à celle des acteurs de l’économie traditionnelle : des licenciements massifs pour diminuer les coûts et plaire aux financiers.
La charge fiscale des GAFA est d’environ 15%. Selon une enquête réalisée par Nikkei, cela correspond seulement à 60% de la moyenne mondiale.
L’activité des géants du numérique comme Google, Apple, Facebook ou Amazon dans les transactions peut « créer des risques d’abus de position dominante » et fragiliser les banques.
L’hégémonie des géants comme les GAFA ne cesse de s’étendre. Les conséquences de cette tendance sont multiples : creusement des inégalités, frein à l’innovation, et même remise en cause de la puissance des États… Dans ce contexte, ces entreprises hyperpuissantes suscitent de nombreuses inquiétudes, si bien qu’elles sont aujourd’hui dans le collimateur des autorités de la concurrence, aussi bien aux États-Unis qu’en Europe.
