Ce que l’abus de lacrymo dit de la santé de notre démocratie #Violences policières
Samedi soir, Gare de l’Est, orages, trains supprimés. La foule se masse et là sans raison : du gaz lacrymogène. Pas d’émeutes, pas de violence, juste la pagaille classique que crée le manque de bus. Cela a fait moins de bruit que ce qui est arrivé aux supporters de Liverpool mais c’est la même histoire : les méthodes d’emploi des armes non létales par la police posent sérieusement question.