Duel ou duo ? #Chronique
La nomination de Gabriel Attal comme premier ministre serait, paraît-il, due à sa popularité, acquise dans des fonctions où il n’est jamais resté assez longtemps pour avoir à rendre compte de ses actes. Il serait la personne idéale pour tenir la dragée haute au candidat tête de liste du RN aux élections européennes. Belle histoire qui ne résiste pas aux faits : c’est plutôt d’une répartition des tâches qu’il est question pour occuper tout l’espace et n’en laisser aucun aux forces de progrès.