Pierre Boyer : « Moins d’impôts n’implique pas plus de bonheur, c’est même l’inverse » #Impôts
Pour combler le déficit qui a atteint 5,5 % du PIB, l’exécutif préfère tailler drastiquement dans les dépenses publiques et refuse fermement de toucher aux impôts, invoquant une pression fiscale qui serait déjà insoutenable en France. Une rhétorique reprise par Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes et chantre du discours du « ras-le-bol fiscal » qu’il a popularisé lorsqu’il était ministre de l’Economie et des finances entre 2012 et 2014.