Correspondant·es à l’étranger : burnouts en série #santé
Les correspondant·es à l’étranger – majoritairement rémunéré·es à la pige – assurent une grande partie de l’information internationale en langue française. Loin des rédactions parisiennes, ils et elles cumulent des conditions de travail propices au surmenage et à l’épuisement professionnel. Et n’échappent pas au burn-out, qui s’est banalisé parmi les journalistes ces dernières années.