Alors qu’une assemblée générale d’Atos doit se tenir ce vendredi, le groupe informatique est à la croisée des chemins. Six créanciers apparaissent comme les grands gagnants du plan de sauvegarde accélérée adopté à l’automne sans que la continuation de l’activité ne soit réellement assurée, par manque de financements. Les salariés craignent un démantèlement. Malgré les communiqués rassurants de la direction, les mauvaises nouvelles s’accumulent, en particulier sur le front commercial. Dernière en date : l’annulation d’une commande de super calculateur par le groupe Dassault.