Suite au bouleversement de la pandémie du Covid-19, l’e-commerce s’est imposé dans les habitudes des consommateurs. Trois Français sur cinq achètent en ligne, selon les chiffres publiés mardi 4 juillet par la fédération de la vente à distance (Fevad).
Les très petites entreprises de la vente de détail et le secteur de l’habillement paient un lourd tribut à l’affirmation de la vente à distance, selon Les Amis de la Terre.
Un rassemblement inédit est prévu, dimanche 20 février, pour protester contre la construction de plusieurs entrepôts dans la commune du Loir-et-Cher.
Plusieurs municipalités de grandes villes françaises s’alarment de la prolifération de ces magasins fantômes, dédiés aux livraisons de courses alimentaires. Paris abrite à elle seule 42 % de ces locaux pour le moment situés dans un flou juridique, entre le commerce et l’entrepôt.
Avec le développement du commerce électronique, de nouveaux métiers sont apparus et ne cessent de progresser : chauffeurs VTC, livreurs à vélo, agents dans les entrepôts pour emballer les colis à distribuer. Des métiers au statut flottant, et dont les conditions de travail sont souvent difficiles voire dangereuses. Quel modèle choisir face à ces nouveaux travailleurs des temps modernes ? Quelle juridiction appliquer ? Comment mieux les protéger ? Les solutions sont loin d’avoir été trouvées.
