La réforme de l’assurance chômage enterrée #Assurance chômage
Le gouvernement veut relancer la négociation entre les partenaires sociaux, à condition qu’ils dégagent des économies.
Le gouvernement veut relancer la négociation entre les partenaires sociaux, à condition qu’ils dégagent des économies.
Depuis l’arrivée du nouveau gouvernement, les entreprises de taille intermédiaire commencent à se poser des questions sur les possibles futures hausses d’impôts ou baisses des aides. D’autant que l’instabilité politique a eu des conséquences sur leur activité.
Aux États-Unis, plusieurs grands groupes reviennent sur la flexibilité. En France, les entreprises souhaitent mieux l’organiser.
Alors que le débat autour des hausses d’impôts s’envenime, celui consacré à la réforme des retraites couve. Mercredi, la proposition de loi du RN visant à abroger cette dernière a été jugée recevable par le bureau de l’Assemblée nationale.
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a une nouvelle fois relevé ses prévisions concernant l’expansion de la capacité de production nucléaire, de plus en plus vue comme un levier de décarbonation.
En août, les deux constructeurs ont envoyé aux trois opérateurs de satellites réunis dans le consortium SpaceRISE des offres séparées mais a priori non concurrentes pour développer et concevoir la future constellation européenne IRIS². Ces offres seraient compatibles avec l’enveloppe globale du programme voulu par la Commission européenne.
Le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, hérite d’un étonnant projet de taxe des énergéticiens élaboré par le gouvernement sortant. Celui-ci prévoyait en effet de mettre en place un impôt sur la « puissance électrique installée » visant principalement EDF…et qui se répercuterait vraisemblablement sur les consommateurs français. A dessein ?
Le constructeur aéronautique américain a annoncé dimanche avoir conclu un accord de principe avec un syndicat représentant plus de 32.000 salariés dans la région de Seattle et de Portland. Il pourrait lui permettre de désamorcer un appel à une grève d’ampleur prévue le 13 septembre.
Le groupe français a éprouvé une perte nette d’1,9 milliard d’euros au premier trimestre cette année. L’ex-fleuron, qui a été au cœur d’un feuilleton financier, est entré en juillet dans une procédure de sauvegarde accélérée.
Difficile de gagner en rentabilité alors que son produit phare est à la peine. C’est pourtant ce qu’a fait Safran au premier semestre 2024, compensant les baisses de livraisons des moteurs Leap par une croissance renforcée sur les services. Ce qui ne manquera pas d’interpeller les avionneurs en attente de livraisons.
Après une hausse de 0,3% au premier trimestre, le Produit intérieur brut (PIB) a encore augmenté de 0,3% au deuxième trimestre. Une croissance tirée par le commerce extérieur et les investissements des entreprises alors que la consommation des ménages recule.
Le directeur financier de Sanofi a assuré ce jeudi que le projet de séparation de l’activité de médicaments sans ordonnance du groupe ne signifie « pas la fin du Doliprane en France ». Reste que, puisque « aucune décision » n’a encore été prise concernant les modalités de scission, l’incertitude plane sur le futur de la production.
Alors que le G20 se réunit et discutera d’une taxation des plus riches, Oxfam publie un rapport qui démontre l’enrichissement de ces derniers alors que leur niveau d’imposition est au plus bas.
Les salariés qui claquent la porte de leur entreprise évoquent la recherche de meilleur salaire et des conditions de travail plus favorables, révèle une enquête de l’Insee. Et pour cause. Pressés par l’inflation, les salariés du privé ont enregistré des pertes de pouvoir d’achat en 2022 et 2023. Mais les travailleurs qui ont choisi de partir ne sont pas toujours gagnants la première année.
Airbus et Thales ont lancé des discussions pour rapprocher leurs activités spatiales. Les exigences de l’autorité de la concurrence européenne et l’Italie seront les deux clés de la réussite de cette opération.
La production d’énergie nucléaire est enfin imminente pour le réacteur normand, dont le chantier a débuté en 2007. Sur place, les répétitions en simulateur et les essais se multiplient en vue d’obtenir l’autorisation de divergence, précieux sésame délivré par le gendarme du secteur.
Entre mercredi et jeudi, une opération judiciaire d’ampleur a mené à des perquisitions aux sièges de plusieurs sociétés du groupe Thales. Ce dernier, visé par plusieurs soupçons de corruption dans des contrats d’armement, affirme coopérer avec les autorités.
Un carburant automobile décarboné à 93 % dans les Landes, des expérimentations de double cultures en Gironde et Lot-et-Garonne et des projets d’usines de kérosène durable dans les Pyrénées-Atlantiques, les Landes et la Haute-Vienne. La filière des biocarburants s’active aux quatre coins de la région avec une obsession : ne pas entrer en concurrence avec les productions agricoles alimentaires. Mais face à l’ampleur de la demande, c’est la forêt qui est mise sous pression.
Après cette folle semaine, les milieux économiques restent volontairement discrets.
La production XXL annoncée par l’avionneur contraint les PME et ETI de la filière à booster leurs capacités industrielles, au prix de quelques acrobaties financières.
Atos, lourdement endetté, a annoncé jeudi prolonger le délai « jusqu’au début de la semaine du 10 juin » pour la sélection d’une proposition de restructuration financière « privilégiée », entre celle de l’homme d’affaires tchèque Daniel Kretinsky et l’autre d’un consortium mené par Onepoint, son principal actionnaire.
Alors que l’inquiétude plane sur la fin du chantier de la fibre ou sur la politique visant à mettre fin aux « zones blanches », où le mobile ne passe pas, l’exécutif est accusé par les collectivités de ne pas jouer son rôle de chef d’orchestre. Ces critiques, très vives ces derniers jours, suscitent la colère de Bercy, qui les juge « hypocrites » et de « mauvaise foi ».
Dans un contexte de crise énergétique depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le fonctionnement du marché européen de l’électricité agite la campagne des élections européennes. Pour la plupart des candidats, ses dysfonctionnements seraient à l’origine de l’explosion des tarifs observée en France. Si bien qu’il faudrait a minima le transformer, voire, pour certains partis, en sortir. Alors, ce système est-il vraiment à l’origine de tous nos maux ? A quoi sert ce marché ? Pourquoi a-t-il failli, et que se passerait-il concrètement pour les consommateurs s’il n’existait pas ?
Selon nos informations, les créanciers obligataires ont envoyé un courrier à Bercy, Atos et à l’administratrice judiciaire, Hélène Bourbouloux indiquant qu’ils rejetaient l’offre du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky.
Alors que les candidats à la reprise du groupe informatique français avaient jusqu’à vendredi pour déposer leur offre, les créanciers, divisés jusqu’ici, ont trouvé un accord pour soutenir Atos en apportant des financements et en convertissant une partie de la dette en capital. Ceci aux côtés d’un actionnaire présentant un profil d’industriel.
Après l’échec de la négociation sur l’assurance chômage, l’exécutif reprend la main et durcit les règles pour les demandeurs d’emploi. Parallèlement, il réfléchit à un acte 2 de sa réforme du « plein-emploi ».
Quelles sont les grandes tendances de l’IA ? L’AI Index publié par l’Institute for Human-Centered Artificial Intelligence de l’université américaine, très attendu dans le secteur, a rendu ses conclusions le 15 avril. La septième édition de ce rapport note notamment l’explosion des coûts des modèles d’intelligence artificielle, l’obsolescence des benchmarks et une utilisation croissante de l’IA en science et en médecine. Tour d’horizon.
L’exécutif sera sommé de s’expliquer à plusieurs reprises d’ici aux européennes.
Les négociations entre syndicats et patronat pour aboutir à un accord sur l’emploi des seniors doivent se prolonger ce mardi, après une longue et laborieuse journée de discussions la veille. Le gouvernement attend l’issue des discussions pour lancer une nouvelle réforme de l’assurance chômage.
La réforme de la retraite à 64 ans ébranle les certitudes des cadres, mettant fin à l’ère où les 45 ans signaient le début de la fin de leur carrière professionnelle. Par Yves Mégret, Managing Partner France chez VALTUS