Comment Danone bouge sa ligne sociale #Entreprises
Bousculé par les nouvelles habitudes de consommation et l’intelligence artificielle, l’industriel rafraîchit son modèle social.
Bousculé par les nouvelles habitudes de consommation et l’intelligence artificielle, l’industriel rafraîchit son modèle social.
Sous pression, Samsung a demandé à ses cadres coréens de venir au bureau un sixième jour par semaine, mais sans compensation salariale… Une décision en dit long sur l’organisation des chaebols, l’évolution de la société sud-coréenne en général et la grande panne d’innovation.
Pour faire des économies, le gouvernement a annoncé un plan de coupes budgétaires de 10 milliards d’euros. Les aides aux entreprises, qui représentent environ 110 milliards d’euros, sont dans le viseur. Comment ces aides sont-elles utilisées ? Quelle est leur efficacité ?
Obligées de se battre pour attirer et fidéliser les talents, les entreprises proposent toujours plus d’avantages à leurs salariés concernant leur vie privée et parfois intime. Entre bienveillance et poursuite de leurs intérêts, jusqu’où devraient aller les entreprises ?
Obsédés par la nouveauté, on en oublie parfois les classiques. De la moquette au téléphone fixe, retour sur 6 reliques de bureau qui méritent d’être célébrées.
La RATP a signé en février 2024 son premier accord QVCT. Accordant une place toute particulière aux managers. Alors, en quoi consiste ces nouvelles mesures ? Semaine de 4 jours, places en crèche, logements… Eléments de réponse de Nathalie Ponzévéra, Directrice des Services de Santé au Travail du groupe RATP.
Plus d’un tiers des Français seraient climatosceptiques et près de 10 % d’entre eux ne croiraient même pas du tout à l’existence du réchauffement climatique. Forcément, ce rapport erroné à la réalité crée parfois des remous entre collègues de bureau. Comment les gérer dans le cadre si feutré de l’entreprise ? Eléments de réponse.
Le bénéfice net du groupe public a été divisé par deux en 2023. L’entreprise veut poursuivre le développement de nouveaux services. Une stratégie qui a conduit La Poste à faire du ménage dans certaines activités.
Savoirs techniques, soft skills, mad skills… Au train où vont les choses, les entreprises n’ont plus d’autre choix, pour rester compétitives, que de développer en leur sein une ambitieuse politique non de formation mais d’apprentissage.
Chevauchements, manque de coordination et d’évaluation… les aides aux entreprises versées par les collectivités locales font l’objet de critiques. Mais les élus de terrain ne sont pas les seuls responsables.
Pessimistes sur le contexte en France et dans le monde, les chefs d’entreprise sont plus positifs sur leur propre situation. Et poursuivent leur quête de compétences.
Emmanuelle Duez, fondatrice du Boson Project et de l’association Youth Forever en est certaine, la jeunesse est plus que jamais partie prenante dans l’entreprise, encore faut-il savoir l’écouter
L’annonce de la désignation d’un mandataire ad hoc pour superviser la restructuration de la dette chez Atos est sans doute l’avant-dernier acte de la longue débâcle du groupe. Tout se met en place pour suivre le scénario d’Orpea et de Casino.
Selon l’analyse de Brigitte Chamak, sociologue française, l’essence du concept de neurodiversité s’ancre dans la croyance que « le fonctionnement cérébral est essentiel pour saisir l’essence de l’être humain ». Ce concept cherche à déplacer le regard médical des « troubles mentaux », pour plutôt « valoriser la variété des processus de pensée ».
Abonnement à une salle de sport, salle de sieste, aide au logement, crèche… Le panel d’avantages sociaux est de plus en plus large. Le contenu du package proposé par l’entreprise est loin d’être anodin, dévoilant les facettes de sa culture interne.
Selon notre dernier baromètre de confiance, les dirigeants sont 90 % à avoir confiance dans leur entreprise. Selon Robert Dambo, de Grant Thornton, « ils tiennent fermement la barre ». Pourtant, les intentions d’embauches sont à la baisse.
Près d’une grande entreprise sur deux estime qu’elle n’est pas « souveraine », selon un sondage réalisé par OpinionWay pour By. O Group. Quelle que soit la taille des entreprises, la plupart des dirigeants n’envisagent toutefois pas de rapatrier leur activité dans l’Hexagone.
Avec 57.729 procédures ouvertes en 2023, le nombre de défaillances est en augmentation de 35,8 % par rapport à 2022, après déjà la hausse historique de 49 % en 2022, selon le cabinet Altares.
Mené à marche forcée, le démantèlement du groupe Casino va profiter à un trio de repreneurs emmené par le milliardaire Daniel Kretinsky. L’actuel propriétaire Jean-Charles Naouri, responsable de la déflagration, devrait aussi s’en sortir à bon compte. À l’inverse de milliers d’employés.
Mené à marche forcée, le démantèlement du groupe Casino va profiter à un trio de repreneurs emmené par le milliardaire Daniel Kretinsky. L’actuel propriétaire Jean-Charles Naouri, responsable de la déflagration, devrait aussi s’en sortir à bon compte. À l’inverse de milliers d’employés.
Bruno Le Maire a annoncé dimanche 7 janvier l’allongement jusqu’à fin 2026 de l’accord permettant aux entreprises ayant eu recours à un prêt garanti par l’État (PGE), pendant la crise sanitaire, de demander un rallongement des échéances de paiement. Seules 560 entreprises y ont eu recours.
Au travers des interactions entre entreprise et territoire, un ancrage se construit dans le temps. Celui-ci apparaît particulièrement fort pour les entreprises familiales qui restent sur le même territoire pendant des années, parfois des générations. Le territoire donne une certaine couleur à l’identité d’une entreprise comme à l’identité des individus qui la composent. L’ancrage territorial s’exprime donc aussi dans le sentiment d’appartenance de ces derniers à cet espace.
L’arrivée d’un nouveau logiciel d’organisation des tâches à la mutuelle d’assurance la Matmut a conduit à la surveillance accrue des conseillers et à une dégradation des conditions de travail, et du service rendu aux clients.
L’économiste et juriste Nicolas Cuzacq dénonce, dans une tribune au « Monde », la fausse ambition de la loi du 29 novembre 2023 concernant le partage de la valeur au sein des PME et des très petites entreprises.
Que dire en cas d’accident stratégique, lorsque l’ombre de la faillite commence à planer sur l’entreprise et que collaborateurs et investisseurs commencent à paniquer ? Les récents déboires de Casino et Alstom en France et les déroutes début 2023 de Credit Suisse et Silicon Valley Bank (SVB) à l’étranger rappellent l’éternelle et permanente possibilité de la sortie de route, au-delà des cas exemplaires de Kodak et Nokia.
Les défis financiers, les situations familiales complexes, les responsabilités d’aidant, les maladies graves ou encore l’épuisement soulignent l’imbrication des fragilités salariales d’origine professionnelle et personnelle. Cette nouvelle réalité sociale questionne le rôle de l’entreprise dans la prise en charge des événements affectant les collaborateurs. Des approches d’accompagnement plus holistiques émergent en France alliant aide sociale, conseil financier et soutien psychologique.
La recherche désigne par le terme de « capital marque » ce qui influence un consommateur à choisir un produit plutôt qu’un autre, à payer davantage, à lui rester fidèle, ou à vouloir l’essayer. Autrement dit, tout ce qui permet à une entreprise de récolter plus d’avantages qu’elle ne le ferait sans le nom de la marque. Grâce à ces mécanismes, le capital marque augmente le volume et les prix de vente. Les entreprises deviennent par ailleurs plus attractives aux yeux des candidats à l’emploi et la fidélisation des collaborateurs s’améliore.
En matière d’inclusion et de diversité en entreprise, des progrès sont notables, notamment en termes de recrutement, mais beaucoup de chemin reste à parcourir. Une dynamique analysée et décryptée par Anthony Babkine, délégué général et cofondateur de l’association d’égalité des chances Diversidays, qui œuvre pour la diversité dans les entreprises de la tech et accompagne des talents sous-représentés dans leur reconversion ou leur projet dans le numérique.
Pour les 60 ans de la Fédération du Commerce Coopératif et Associé, 15 étudiants en école de commerce (ESCP, Neoma, IGR-IAE Rennes) et les dirigeants de groupes coopératifs, Michel-Edouard Leclerc, Marie Arnout (Gedimat), Thierry Cotillard (Intermarché), Agnès Pécoul (Alkor) et Dominique Schelcher, PDG de Système U se sont prêtés à un jeu de questions-réponses dans une séquence « la Jeunesse parle au Commerce ». Compte-rendu de Dominique Schelcher.
Le système d’épargne collectif a le vent en poupe. Et il devrait encore gagner en visibilité auprès des Français : la loi sur le partage de la valeur, adopté mercredi 22 novembre au Parlement, va l’ouvrir aux sociétés de 11 à 49 salariés. Une aubaine pour ceux qui veulent préparer, en toute sérénité, leur retraite.