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A l’invitation des députés LFI Eric Coquerel et Liot Charles de Courson, syndicalistes et économistes ont mis sur la table, lundi 21 octobre à l’Assemblée, des moyens alternatifs pour revenir à un âge de départ légal à 62 ans au lieu de 64 ans.
Les partenaires sociaux, gestionnaires du régime Agirc-Arrco, ont décidé d’augmenter la retraite des ex-salariés du privé de 1,6% au 1er novembre.
Dès la cinquantaine franchie, les dernières années de vie active peuvent tourner à l’épreuve. Elles peuvent aussi être une opportunité de mobiliser son expérience, au profit notamment de la transmission. Mais au-delà de la variété des parcours, la retraite à 64 ans, « c’est toujours non ! », a réaffirmé l’intersyndicale mobilisée contre la réforme.
C’est indéniable : la réforme des retraites continue d’être réprouvée par une majorité de Français qui pensent qu’elle ne fait que des perdants. Elle n’a pas calmé leurs nombreuses inquiétudes, et ils sont persuadés que d’autres réformes suivront.
Pour renflouer la caisse de retraite des agents territoriaux et hospitaliers, le gouvernement envisage de demander une forte contribution aux employeurs. De quoi faire bondir les intéressés.
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Dans un communiqué commun diffusé ce lundi 7 octobre, huit syndicats de salariés saluent la nouvelle méthode de dialogue prônée par le Premier ministre et lui réclament une suspension immédiate de la réforme adoptée par 49.3 en mars 2023.
Le montant global des économies à envisager dès 2025 pour ramener les comptes publics vers l’équilibre est particulièrement élevé. À croire que par l’affichage de montants spectaculaires, le premier Ministre ait voulu dramatiser et marquer les esprits.
Les députés socialistes ont annoncé qu’ils ne voteraient pas la proposition de loi d’abrogation de la réforme des retraites du RN qui prévoit un retour de l’âge de la retraite à 62 ans. Le reste du Nouveau Front populaire (NFP), partagé, n’a toujours pas pris de décision.
Les décrets d’application de la réforme des 64 ans empêchent les titulaires de ces contrats aidés, dans les années 1980-1990, de partir en « carrière longue ». Leur collectif repart à l’assaut.
Alors que le débat autour des hausses d’impôts s’envenime, celui consacré à la réforme des retraites couve. Mercredi, la proposition de loi du RN visant à abroger cette dernière a été jugée recevable par le bureau de l’Assemblée nationale.
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Alors que Macron rechigne à nommer un Premier ministre qui abrogerait sa réforme décriée, un maintien de cette dernière pourrait être synonyme de censure du gouvernement. Certains plaident pour la «retravailler», quand d’autres proposent simplement de la geler.
La seconde étape de revalorisation des petites pensions prévue par la réforme des retraites, au coeur de l’actualité politique, entre en vigueur. Elle va concerner plus d’un million de retraités.
Le Nouveau Front populaire et le Rassemblement national veulent tous deux faire abroger ce texte emblématique de la présidence Macron, devenu un symbole politique. Le sujet est au cœur d’une course de vitesse entre les deux partis, mais le chemin est semé d’embûches.
La France insoumise comme le Rassemblement national ont annoncé leur volonté de déposer une proposition de loi pour abroger la réforme des retraites. Face à cette menace qui pourrait mettre à mal une des réformes phare d’Emmanuel Macron, l’exécutif a quelques armes législatives à disposition.
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Le parti, tout comme la candidate du NFP à Matignon Lucie Castets, souhaite défendre au parlement l’abrogation de la réforme qui reporte à 64 ans l’âge légal de départ. Mais plusieurs obstacles politiques et financiers seront à lever.
Mathilde Panot, députée du Val-de-Marne, présidente du groupe La France insoumise à l’Assemblée nationale, annonce ce mardi déposer une proposition de loi pour abroger la réforme des retraites.
En 2023, 13 % des personnes en emploi qui ont liquidé leurs droits n’ont pas raccroché, principalement par nécessité financière ou du fait de la satisfaction qu’elles retirent de leur travail, montre une étude de l’Insee.
Le gagnant surprise des élections législatives anticipées promet de supprimer le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans. La coalition de gauche évoque plusieurs options pour parvenir à ses fins.
Les retraites s’invitent dans les législatives. Publié à point nommé, le rapport du COR rappelle que le déficit du système est avant tout un choix du gouvernement.
Le nouveau président du Conseil d’orientation des retraites, Gilbert Cette, veut changer l’esprit du rapport annuel de l’institution, jusqu’à présent ouvert à la diversité des points de vue. Les syndicalistes tentent de résister à l’offensive.
Les dockers continuent de négocier avec le gouvernement pour leurs retraites. La CGT appelle à plusieurs jours de grève en juin.
Des économistes proposent de ponctionner davantage les retraités, jusque-là protégés de l’inflation par l’indexation des pensions. Mais une telle réforme pose de nombreuses questions de justice sociale et intergénérationnelle.
Si, pour de nombreux salariés, la retraite est synonyme de libération, pour d’autres, la fin de leur vie professionnelle résonne comme la perte de leur identité. L’anticiper permet de commencer à en construire une nouvelle.
Quel trentenaire, étant petit, n’a jamais envié ses grands-parents de ne plus avoir à travailler ? Hélas, si la retraite pouvait apparaître comme un eldorado dans les années 80, aujourd’hui, le son de cloche est bien différent. La retraite, il faut le reconnaître, ne transcende plus grand-monde parmi les 25-35 ans. Mais d’où vient cette perte de confiance dans le système de retraites ? Cette crainte de ne pas en avoir est-elle vraiment fondée ? Décryptage.
Un accord permettant aux cheminots de bénéficier d’un dispositif de fin de carrière ou d’une cessation progressive d’activité devrait être entériné lundi 22 avril. Les quatre syndicats majoritaires, satisfaits du résultat de leur mobilisation et des négociations, devraient apposer leur signature.
Pour la seconde fois, le gouvernement envisagerait de ponctionner les caisses de l’Agirc-Arrco, le régime de retraite complémentaire des salariés du privé, afin d’alimenter la Caisse nationale d’assurance-vieillesse, notamment pour revaloriser les petites pensions. Si une décision est prise à ce sujet, les retraités du privé pourraient s’en voir fortement impactés.
Pour inciter à travailler plus longtemps, les pensions des retraités du secteur privé étaient amputées de 10 % pendant trois ans.
La retraite progressive, qui permet à ceux qui diminuent leur temps de travail de percevoir une partie de leur pension de retraite, est une façon de lever le pied en fin de carrière tout en limitant la baisse de revenus. Des conditions s’appliquent.
