La société grenobloise, soutenue par Renault, Schneider Electric et Arkema, pourrait créer 1 200 postes dès la première phase et de nombreux emplois indirects.
Un an après la fusion PSA-Fiat-Chrysler, la multinationale s’apprête à annoncer 10 milliards de profits. La colère contre des niveaux de salaires au rabais monte dans les sites français, selon Jean-Pierre Mercier.
Les constructeurs européens Stellantis (ex-PSA) et Renault annoncent mettre l’intelligence artificielle au cœur de leurs voitures. Une manœuvre avant tout en direction des marchés.
Un an après la fusion de PSA et Fiat Chrysler, le patron du constructeur aux 14 marques accorde une interview à quatre médias européens. Il exprime ses réserves sur la stratégie européenne de décarbonation du secteur. « Avec Stellantis, nous sommes tous tenus de monter d’un cran, moi le premier, et de grandir à la hauteur du changement de dimension de l’entreprise », explique-t-il aussi.
La fusion avec Fiat Chrysler a intégré le constructeur français dans un groupe international dont le fonctionnement bouscule les repères et les habitudes des salariés hexagonaux. L’éloignement des centres de décisions et les efforts d’économies renouvelés pèsent parfois sur le moral des troupes.
