Cela fait deux ans qu’Amazon licencie en masse dans ses rangs, et ce, un peu partout dans le monde. Et Andy Jassy, l’actuel PDG de l’entreprise américaine, a une explication à cela qui va clairement à contre-courant de ce que l’on est en droit de penser.
Ils sautent d’un emploi à l’autre à un rythme qui étonne bien des recruteurs. Pourtant, cette mobilité intense ne traduit ni un désintérêt ni une frustration salariale. La génération Z cherche avant tout à progresser, apprendre et construire un parcours professionnel plus riche, au-delà des idées reçues.
Travailler 5 jours ou 4, aucune différence de productivité selon une étude. Moins de stress, plus de satisfaction… La semaine de 4 jours pourrait bien s’imposer.
Les jeunes diplômés peinent de plus en plus à trouver un travail, et ce n’est pas seulement à cause de l’IA. Un conseil donné par la plupart des parents semble désormais se retourner contre eux…
Une enquête signée Intelligent.com révèle que les jeunes diplômés inspirent la méfiance de nombreuses entreprises.
Une étude australienne, menée sur quatre ans et ayant débuté avant la pandémie, livre des conclusions éclairantes sur l’impact du travail à domicile. Les chercheurs sont formels : cette flexibilité améliore significativement le bien-être et le bonheur des employés, transformant notre rapport au travail.
L’ère du télétravail généralisé semble marquer le pas, avec de nombreuses entreprises orchestrant le retour au bureau. Mais cette transition révèle une demande plus profonde et peut-être plus fondamentale des salariés : au-delà du simple lieu de travail, c’est la maîtrise de leur temps qui est désormais ardemment plébiscitée.
Ce groupe de chercheurs a suivi de près un groupe de travailleurs avant et après la révolution qu’a entraîné la pandémie dans les entreprises du tertiaire. Pas de doute, la démocratisation du télétravail nous rend plus heureux.
