« Il s’agit de la résolution environnementale la plus importante depuis l’Accord de Paris ! » s’est réjouie la directrice exécutive du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), Inger Andersen. Réunis depuis le 28 février à Nairobi, au Kenya, pour la cinquième session de l’instance onusienne, les représentants de 175 États se sont engagés à « mettre fin à la pollution plastique ». Dans cette optique, un comité ad hoc a été créé. Sa mission : organiser les négociations afin d’aboutir à l’adoption d’« un traité mondial juridiquement contraignant pour limiter la pollution plastique » en 2024.