Un homme debout face à la violence du monde du travail #Culture
C’est, dans la ville de Cézanne, la 19e édition des Rencontres du 9e art, au cours desquelles huit artistes programmateurs donnent le ton d’une manifestation qui, avec plus de trente auteurs invités, témoigne de la vitalité de la création.
À Moulins, le 400e anniversaire de la naissance de l’auteur-acteur et chef de troupe, vrai trésor national, est célébré avec faste, à partir de vêtements créés, au fil des ans, pour définir ses personnages.
« Le Covid-19 a fait perdre 19 milliards d’euros aux cinémas en Europe », titrait le Monde le 22 juin dernier.
Membre du conseil d’administration du festival de Cannes comme membre fondateur, elle y conserve sa voix et sa place. Le festival ? Un lieu également de rencontres professionnelles et de luttes.
Le groupe américain, qui pesait un quart des ventes de billets de cinéma avant la crise sanitaire, sortira en France « Strange World » directement sur Disney+. Il veut une réforme de la chronologie des médias afin d’obtenir plus de souplesse pour la diffusion de ses films en salles et sur Disney+.
Apparue le 30 mai 1992, la chaîne franco-allemande, qui célèbre cette année ses 30 ans, a su utiliser le numérique pour devenir une plateforme culturelle européenne créative, traduite en six langues. Mais c’est en France surtout, où elle connaît des audiences importantes sur tous les supports, qu’elle est entrée dans les foyers.
De grosses craintes agitent le milieu de l’édition, alors que Vivendi (Editis), le groupe de Vincent Bolloré, s’apprête à mettre la main sur Lagardère (Hachette Livres). Éditeurs et libraires en appellent à la Commission européenne pour éviter la formation d’un mastodonte qui déséquilibrerait totalement le milieu.
Un rapport réalisé par trois chercheurs dresse un constat mesuré de l’état actuel du secteur culturel, dont le caractère essentiel ou superficiel a échauffé les esprits pendant l’épidémie de Covid-19.