En France, une part significative des seniors ne sont ni en emploi, ni à la retraite. Parmi eux, une majorité exerçaient des métiers pénibles physiquement et à faible niveau de qualification.
Avec un taux d’emploi des 55-64 ans atteignant 56,9% en 2022, la France fait pâle figure face à ses voisins européens. Malgré ce retard, de nombreuses entreprises multiplient les initiatives pour faciliter les fins de carrières de leurs seniors.
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Tiraillés entre fin de vie professionnelle, désir d’engagement bénévole et soutien familial, trois jeunes seniors se confient à «Libé» sur la façon dont ils concilient ou tentent de concilier leurs aspirations à un moment charnière de leur existence.
Une étude menée par une économiste et un sociologue du travail révèle des chiffres explosifs pour ces personnes, à l’heure où le gouvernement veut allonger de deux ans l’âge légal de départ à la retraite.
Leur expertise et leur maturité font leur force et pourtant nombre d’entreprises délaissent les séniors au profit de profils moins chers et plus jeunes. Comment adapter sa recherche d’emploi quand on est senior ? Quelles stratégies adopter pour décrocher un poste malgré les préjugés ? Les réponses sans langue de bois de quatre experts de la recherche d’emploi, en direct du terrain.
Qu’est-ce qu’un senior ? Une étude réalisée par l’institut Ipsos pour l’association A compétence égale, et publiée jeudi, exprime en quoi recruteurs et candidats n’ont pas la même définition des seniors, et décrit l’évolution de leur place dans l’entreprise.
Par plaisir ou par nécessité, de nombreux retraités poursuivent leur activité. Certains d’entre eux se sont confiés au Figaro.
Ce militant historique de la lutte contre le sida et auprès des plus précaires vient de cofonder, en décembre 2021, le Conseil national autoproclamé de la vieillesse.
