Grandes écoles : le taux d’emploi des diplômés recule mais les salaires augmentent #Jeunes diplômé.e.s
Le taux d’emploi des jeunes diplômés des grandes écoles est moins bon que les années précédentes. Les salaires, eux, sont au beau fixe.
Le taux d’emploi des jeunes diplômés des grandes écoles est moins bon que les années précédentes. Les salaires, eux, sont au beau fixe.
La reconduction de la prime à l’embauche en 2024 pour les alternants repose la question de l’efficience de ce dispositif qui ratisse large.
Pour Pierre Mathiot, directeur de l’Institut d’études politiques de Lille (Nord), les changements radicaux de voie d’une partie des jeunes diplômés de grandes écoles doivent inviter à repenser certaines formations d’excellence.
Jeunes étudiants ou cadres brillants éprouvent le sentiment de ne pas mériter leur place, de ne pas avoir les compétences requises, avec la peur qu’un jour leur « imposture » soit démasquée.
Beaucoup de jeunes diplômés ne veulent plus travailler dans des entreprises qui se lancent. Charge de travail trop lourde, absence d’avantages sociaux, manque d’encadrement… Ils préfèrent voguer vers de plus grosses entités, qu’ils fuyaient au départ.
Une étude de Sopra Steria fait la lumière sur les attentes des jeunes diplômés de la tech. Et dresse le portrait d’une génération bien loin des clichés habituels.
Des jeunes ingénieurs et diplômés désertent leur carrière pour vivre et travailler de manière alternative. Un collectif, Les Désert’ Heureuses, tente d’organiser le mouvement et cette aspiration partagée. Témoignages.
Laurent Polet s’intéresse au désarroi des jeunes élites. Parfois très critiques envers les débouchés proposés par leur formation d’excellence, ces cadres sont tentés par des reconversions radicales. L’essayiste, lui-même ingénieur diplômé de CentraleSupélec, les invite à exercer leur liberté.
Après le rebond post-Covid de l’an dernier, la hausse se poursuit pour le taux d’emploi et les salaires des jeunes diplômés des grandes écoles. La part de ceux qui prennent un poste à l’étranger continue de chuter. Les évolutions sont plus inquiétantes en matière d’inégalité entre les hommes et les femmes.
Les jeunes diplômé·es de la CGT organisent leur 1ère CGTeuf !
L’occasion de vous donner rendez-vous pour lutter de façon joyeuse et inclusive.
Pour cette première édition, la CGTeuf se passera au Point Ephémère dans le 10ème arrondissement de Paris.
Jeunes embauché·e·s, nous nous sommes récemment syndiqué·e·s par dizaines à la CGT pour défendre nos retraites. Nous partageons nos vécus au sein du collectif jeunes diplômé·e·s de l’Ugict-CGT.
L’Association pour l’emploi des cadres (Apec) révèle un niveau d’emploi record pour les jeunes diplômés de niveau bac+5. Trois ans après l’éclatement de la pandémie, le marché de l’emploi est florissant malgré un contexte économique anxiogène.
Une étude réalisée auprès des jeunes diplômés de seize grandes écoles dresse un panorama de leurs nouvelles aspirations. Elle passe en revue toutes les interrogations que se posent les entreprises, de l’ampleur du phénomène des « bifurqueurs », qui ont perturbé les cérémonies de remise de diplômes, jusqu’aux interrogations sur une « génération flemme ».
Dans le cadre d’un partenariat avec Challenges, Aurélie Dehling, qui dirige le programme grande école de Kedge Business School détaille les enseignements destinés à former des managers moins formatés. L’école va très loin dans cette démarche.
Quelles sont les aspirations des jeunes diplômés, de 18 à 24 ans, en matière de travail et quel est leur rapport à l’entreprise ? Voici les grands enseignements d’une étude réalisée par la Fondation Jean Jaurès en partenariat avec la Macif et BVA.
Présenté le lundi 3 octobre, le rapport annuel de l’OCDE « Regards sur l’éducation » met en lumière une spectaculaire hausse du niveau de qualification durant les deux dernières décennies, en France comme dans la plupart des autres États membres.
Depuis l’épidémie de Covid-19, le travail « hybride », mêlant distanciel et présentiel, est devenu une norme pour les jeunes diplômés, qui n’hésitent pas à refuser des postes si on ne leur offre pas cette possibilité.
Les cérémonies, vendredi 24 juin, ont mis en lumière le malaise d’une partie de cette jeunesse, faisant écho aux discours récents d’autres élèves, à Centrale Nantes ou AgroParisTech.
Une nouvelle génération de spécialistes des données, des algorithmes et de l’intelligence artificielle s’interroge sur les enjeux éthiques, sociaux et environnementaux de leur métier.
Réduire son temps de travail, trouver des alternatives au salariat, réduire son niveau de vie… Bien insérés et engagés dans des carrières stables, certains jeunes diplômés s’interrogent sur le sens de la « valeur travail ». Reportage à Nantes.
Quelque 1,7 million d’étudiants font leur rentrée à l’université, soit 500 000 de plus qu’il y a dix ans, dans un contexte de sous-financement qui inquiète les enseignants-chercheurs.
À l’issue de leur mission, la moitié des jeunes sont embauchés par l’entreprise dans laquelle ils ont effectué un volontariat international en entreprise.
SPECIAL PREMIER EMPLOI 2021 – Soyons concrets. Voici une sélection d’entreprises qui donnent leur chance aux jeunes diplômés et recrutent là, tout de suite, maintenant. Pourquoi ces boîtes ? Parce qu’elles ont pris la peine de diffuser des offres à destination des jeunes sur Cadremploi. Parce qu’elles savent que l’année 2021 ne va pas être simple pour les promos 2020 voire 2019 parfois restées sur le carreau à cause du Covid. Alors en plus des conseils de notre réseau de recruteurs (voir notre dossier ci-dessous), on vous invite à cliquer sur ces offres d’emploi « jeunes diplômés friendly » ou à les partager avec les jeunes de votre réseau, parce qu’elles sont éphémères ! Par définition, elles vont disparaitre une fois pourvues. A vos marques, prêt ? Postulez !
Une circulaire gouvernementale a introduit en février le terme d’« auto-stage », pour pallier les difficultés de certains étudiants autoentrepreneurs à en trouver sous un format classique.
ENQUETE CGE 2021 – Les diplômés 2020 ont été relativement épargnés par la crise liée au Covid. La 29e enquête d’insertion de la Conférence des grandes écoles dresse le portrait d’une promotion avec une insertion en baisse de 9% seulement et des salaires d’embauche quasi stables. La situation est cependant plus dégradée pour les femmes.
Dans leur enquête « Génération surdiplômée », Monique Dagnaud et Jean-Laurent Cassely dressent le portrait des 20 % les plus diplômés, dotés d’un immense pouvoir d’influence sur la société.
La crise sanitaire est l’occasion pour certains, majoritairement privilégiés et bien diplômés, d’imaginer des rebonds professionnels.