L’enquête révèle que pour 83 % d’entre eux, la crise a amplifié ou a fait apparaître des risques prsychosociaux. Les risques ainsi observés pendant la crise sanitaire ont principalement été le stress (68 %), la surcharge de travail (60 %) et l’isolement (37 %).
En termes de changements organisationnels, des changements d’organisation négatifs mais également des changements d’organisation positifs sont retenus par les répondants : le télétravail a été forcé pendant la crise, mais la vision des managers a évolué sur celui-ci avec la crise. De même, des lacunes de management et un manque d’encadrement sont soulignés, mais une plus grande autonomie des salariés travaillant à distance est relevée.
Les IRP sont 66 % a indiquer que l’état physique et mental des salariés a été plutôt (53 %) ou tout à fait (13 %) dégradé par la crise.
En termes d’implication dans la crise sanitaire, 70 % des répondants estiment avoir été plutôt ou très impliqués dans la mise en place de plan de continuité d’activité et du plan de reprise d’activité (contre 30 % qui indiquent ne pas avoir été impliqués dans leur mise en place). Point négatif : 8 % des répondants indiquent que rien n’a été fait pour mettre à jour le document unique.