Comment la sphère Bolloré dicte l’agenda #Politique
La droite LR s’est emparée de la vraie fausse polémique sur la labellisation de la presse lancée par les médias Bolloré. Le groupe est devenu un acteur politique.
La droite LR s’est emparée de la vraie fausse polémique sur la labellisation de la presse lancée par les médias Bolloré. Le groupe est devenu un acteur politique.
Un total de 289 voix était nécessaire pour que la motion de censure déposée par La France insoumise soit adoptée.
Depuis la dissolution de juin 2024, et avec une succession de gouvernements éphémères (Michel Barnier, François Bayrou et Sébastien Lecornu), la France connaît une crise politique inédite. Pour le chercheur Rémi Lefebvre, ce blocage n’est pas seulement institutionnel : il révèle une crise du lien représentatif, nourrie par la défiance, par la fragmentation sociale et par l’usure du fait majoritaire.
Alimentée par la chute de 1,36 % du CAC 40, l’appréhension des organisations patronales a grandi après l’annonce de la démission du locataire de Matignon lundi matin. En quête de stabilité, le Medef a immédiatement reporté son grand raout.
Son nouveau gouvernement n’aura pas duré 24 heures. Face au rejet des Républicains, comme de l’opposition, le Premier ministre Sébastien Lecornu a remis sa démission. Emmanuel Macron l’a accepté ce lundi 6 octobre au matin, selon BFMTV.
Sourd à la censure de son gouvernement précédent, Emmanuel Macron a renommé une équipe quasi identique et rappelé Bruno Le Maire. Au-delà même d’une chute qui semble inéluctable, la crise politique prend une dimension nouvelle. Déjà, Bruno Retailleau et LR menacent de claquer la porte.
Le chef du gouvernement a pris la parole avant une nouvelle matinée de consultations politiques, avec la réception de représentants du RN, du PS et des Ecologistes.
Avec déjà cinq gouvernements depuis le début du second mandat d’Emmanuel Macron, la France est rattrapée par l’instabilité politique. Est-ce de nature à rendre les Français malheureux ? ou le bonheur est-il seulement une affaire privée, imperméable aux évolutions du monde en général, et aux tribulations de la vie démocratique en particulier ?
Le succès de fréquentation du rendez-vous annuel des communistes démontre qu’il reste à gauche une vraie base militante. Et si Mélenchon a lancé samedi une «offre fédérative», l’union se fait désormais sans les insoumis.
L’économiste Frédéric Gilli fait, dans une tribune au « Monde », l’éloge du pragmatisme démocratique, seule manière selon lui de sortir la France de l’impasse politique.
À 39 ans, Sébastien Lecornu succède à François Bayrou. Avant de devenir chef du gouvernement, il a été secrétaire d’État à la Transition écologique de 2017 à 2018. Il était en charge des dossiers liés à l’énergie, notamment l’EPR de Flamanville et Cigéo.
Quelques heures après avoir accepté la démission de François Bayrou mardi 9 septembre, le Président a choisi l’un de ses plus fidèles à Matignon, souvent pressenti comme Premier ministre mais jamais nommé. Une décision accueillie avec froideur par la gauche, l’extrême droite mais aussi une partie du camp présidentiel.
François Bayrou n’aura pas réussi son pari fou d’obtenir le vote de confiance des députés réunis en session extraordinaire lundi 8 septembre, sur sa politique générale consacrée à la dette. Le vote de l’Assemblée est sans appel : 194 voix contre 364. Quel que soit le casting à venir, la CGT souhaite maintenir la pression afin d’infléchir les choix d’Emmanuel Macron. Le problème n’est pas uniquement la casting, mais surtout la politique.
La crise politique suscite un pessimisme record en cette rentrée 2025. Dans un sondage Odoxa pour Challenges, le moral des Français atteint ainsi son plus bas niveau depuis la crise du Covid.
Lors d’une émission censée répondre aux « défis de la France », le président de la République a défendu son action et refusé tout référendum sur l’abrogation de la réforme des retraites. Avant d’assurer pourtant en fin d’émission qu’il souhaitait « qu’il y ait un référendum (…) dans les prochains mois sur les grandes réformes économiques, éducatives ou sociales ». Il a également écarté de nationaliser ArcelorMittal. Il a cependant
Reconnue coupable de détournement de fonds publics, la cheffe de file de l’extrême droite française a été condamnée à quatre ans de prison dont deux ans ferme assortis d’une peine d’inéligibilité de cinq ans avec exécution provisoire.
Le président de la République a déclaré mercredi vouloir des « investissements supplémentaires » dans le domaine de la défense, et ce, « sans augmenter les impôts ».
La Commission européenne veut alléger la « charge réglementaire » des entreprises avec une réforme de grande ampleur. Mais la loi qu’elle va présenter marque surtout le recul de ses ambitions sur le climat et les droits humains.
Une proposition de loi de justice fiscale portée par le groupe écologiste et social sera examinée le 20 février. Elle vise à instaurer un impôt de 2 % sur le patrimoine des ultrariches. Gain potentiel : 20 milliards d’euros.
Les dessous du deal entre Richard Ferrand et Marine Le Pen pour sauver le président de la République.
Le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) serait-il en train de se saborder ? Universités, laboratoires et syndicats font front commun contre l’initiative « Key Labs », portée unilatéralement par la direction du CNRS. Un projet qui vise à rediriger les moyens du Centre vers un quart des unités de recherche dites « stratégiques ».
Après un accord de dernière minute au bureau national du PS ce jeudi 16 janvier, l’Assemblée nationale a rejeté la première motion contre François Bayrou déposée et votée par LFI, les communistes et les écologistes.
Le premier ministre, François Bayrou, prononce ce mardi 14 janvier sa déclaration de politique générale à l’Assemblée nationale à partir de 15 heures. Il est pressé par la droite et l’extrême droite de ne rien lâcher sur le budget, largement inspiré de la copie laissée par son prédécesseur, Michel Barnier. La gauche, elle, exige un nouveau cap notamment sur la réforme des retraites. Faute de quoi, elle votera la censure.
Tirant les leçons de la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis, la sociologue estime, dans une chronique au « Monde », que la France doit construire un projet politique, économique et social, sans quoi l’extrême droite promet de remporter les prochaines élections.
Le président de la République a rejeté toute responsabilité dans la crise politique en cours, qu’il a provoquée avec la dissolution de l’Assemblée en juin et la nomination de Michel Barnier à Matignon, au mépris du résultat sorti des urnes. Isolé comme jamais depuis la censure votée par les députés contre son premier ministre, il appelle désormais à un gouvernement « d’intérêt général » sans en préciser la feuille de route, à part celle de refus d’une hausse des impôts.
Menacé de censure par le NFP et le RN, Michel Barnier a fait le choix de céder aux demandes de l’extrême droite de Marine Le Pen en actant un recul sur l’aide médicale d’État (AME). La gauche dénonce un déshonneur.
Le gouvernement a déposé deux amendements au budget 2025 prévoyant de réduire les effectifs des ministères de l’Écologie et des Territoires. Une « saignée » dénoncée par les syndicats.
Les députés de la commission des finances ont choisi d’étendre leur pouvoir de contrôle et se transformer en commission d’enquête destinée à comprendre l’explosion du déficit public.
Un mois après sa nomination en tant que Premier ministre, Michel Barnier a dû faire face mardi 8 octobre à sa première motion de censure.