Offre d’emploi : Journaliste bimédia – Options – Au cœur du social #Emploi
Dans la perspective prochaine d’un départ en retraite, Options recrute un·e journaliste bimédia. Le poste est disponible au 1er novembre 2022.
Dans la perspective prochaine d’un départ en retraite, Options recrute un·e journaliste bimédia. Le poste est disponible au 1er novembre 2022.
Décryptage des dispositions de « rachat de RTT » votées dans le cadre de l’examen de loi de finances rectificatives pour l’année 2022.
Voilà des années que la droite et les néolibéraux s’échinent à donner des coups de canif dans la réduction du temps de travail sans oser frontalement jeter à la corbeille les 35 heures. Cet été à la faveur de la loi sur le pouvoir d’achat, le gouvernement et la droite ont enfoncé un sérieux coin qui va fragiliser encore ce progrès social qui n’est pourtant pas acquis pour tous les salarié.es en autorisant le rachat des journées de RTT jusqu’au 31 décembre 2025. L’ensemble des organisations syndicales ont dénoncé la manœuvre.
Depuis au moins deux siècles, chaque révolution technologique s’accompagne d’un discours sur un « trop-plein » de données. Avec l’essor du numérique, ce trop-plein est devenu un « océan » de data, dont les mésusages et les détournements, à des fins marchandes ou de surveillance, notamment au travail, soulèvent de multiples enjeux : ils sont syndicaux, industriels, environnementaux, démocratiques…
Il n’est pas question de se priver des données, socialement utiles dès lors qu’elles sont fiables, de bonne qualité, sans biais et sécurisées. Mais, en croisant les approches syndicales, mutualistes et universitaires, de proposer des pistes pour en retrouver la maîtrise : au service de l’intérêt général.
Dans tous les secteurs les salaires stagnent et les conditions de travail se détériorent. Les employeurs en demandent toujours plus aux cadres et professions intermédiaires, tout en réduisant nos moyens pour accomplir notre travail.
Les annonces d’Elisabeth Borne devant les parlementaires réunis pour son discours de politique générale n’ont finalement ni surpris, ni marqué de rupture. Y compris et en particulier sur la lancinante question du pouvoir d’achat à laquelle Emmanuel Macron et son gouvernement répondent par une politique de chèques.
Ce mardi 5 juillet 2022, le Parlement européen a adopté un rapport intitulé « Mental Health in the Digital World of Work » (« La santé mentale dans le monde numérique du travail ») au sujet de la protection de la santé des salarié·es face aux risques psycho-sociaux (RPS).
La décision de la Cour suprême des États-Unis de mettre fin à la jurisprudence qui avait ouvert le droit à l’interruption volontaire de grossesse il y a 50 ans a provoqué une onde de choc mondiale avec – dans de nombreux pays – des manifestations et des pétitions de soutien.
Cette journée de formation s’adresse prioritairement aux référent.e.s du personnel ou RH, et aux ingés, cadres et tech en situation de management. Elle a pour objectif de connaitre la loi sur la définition des violences, savoir identifier les bonnes pratiques en matière de prévention, et savoir comment réagir en cas de violences sexistes et sexuelles.
Parce qu’Emmanuel Macron est privé d’une majorité absolue à l’Assemblée, les commentaires sont allés bon train depuis les résultats des législatives et certains se sont risqués à parier sur un enterrement définitif de la réforme des retraites. Mais c’était sans compter sur la volonté du chef de l’État de mener à son terme ce chantier mis entre parenthèses par la puissante mobilisation sociale et par la pandémie.
Actuellement dans de nombreux établissements publics de recherche des intersyndicales naissent, les personnels se mobilisent.
La CGT présente dans la diversité des collèges de cette instance, impliquée sur l’ensemble des problématiques examinées, exprime à l’occasion de votre prise de mandat, Madame la Ministre, le souhait d’un CNESER utile et efficace, consulté et respecté. Cela signifie que les avis notamment unanimes soient parfois suivis par le ministère.
Condamnation record de McDonalds France pour fraude fiscale : au moins 1 milliard 100 millions d’euros d’amende et de pénalités !
Dès 20 heures ce dimanche soir 12 juin tous les commentaires sur le premier tour des législatives relevaient le précédent historique d’une élection où non seulement le président réélu il a quelques semaines ne bénéficiera pas de majorité absolue à l’Assemblée, mais sa formation politique perd 3 points par rapport au score d’Emmanuel Macron au 1er tour.
Mais quelle est donc cette usine à gaz lancée par Emmanuel Macron dans son entretien à la presse régionale à une semaine d’un scrutin législatif déterminant pour la suite de son quinquennat ?
Le SNJ-CGT lance une vaste étude évolutive, relative au racisme dans les médias.
Cette enquête intervient à la suite des orientations prises lors de leur dernier congrès, en juin 2021. Inscrite dans un temps long, elle permettra au syndicat d’évaluer la situation et la réalité du racisme dans le milieu journalistique.
Cela fait maintenant des années que les mobilisations pugnaces des personnels de santé nous ont révélé la crise profonde du système de santé dans sa globalité et pas seulement une crise du service public hospitalier.
Pour lancer ce nouveau format (disponible ci-dessous ou au téléchargement), nous nous sommes entretenus avec Sébastien MELIN, Secrétaire général de l’Ugict-CGT RATP, Fédération nationale des syndicats de transports (FNST). L’occasion de revenir sur le succès de la dernière campagne électorale et sur le phénomène de démantèlement de la RATP engagé par le processus de privatisation actuellement en cours.
Il faut bien reconnaître à Emmanuel Macron une certaine constance. Ainsi continue-t-il à nous faire du « en même temps » avec un gouvernement où voisineront Pap Ndiaye, l’historien de la « Condition noire » à la tête de l’Éducation nationale et Gérald Darmanin à l’Intérieur.
L’arrêt de la Cour de cassation le 11 mai validant le barème Macron encadrant les indemnités pour licenciement injustifié, est à coup sûr une bonne nouvelle… pour le patronat. Et donc une très mauvaise nouvelle pour les salarié.es.
Si la réforme des retraites a été un élément fort de la polarisation des électeurs dans la dernière ligne droite de l’élection présidentielle, ce n’est évidemment pas un hasard.
Avec un niveau record pour l’extrême droite et l’abstention, les résultats des élections présidentielles sont inquiétants pour notre démocratie. Toutefois, la séquence électorale n’est pas close. Les élections législatives des 12 et 19 juin sont un moment clé pour exprimer nos exigences sociales et environnementales. Ce sont les député·e·s qui font la loi, décident du budget de l’État et de la Sécurité sociale ou encore peuvent mener des enquêtes.
Le 16 mars 2022, Teldja Seniguer, Cadre au Carif-Oref[1] Occitanie (Centre Animation Ressources d’Information sur la Formation/Observatoire Régional Emploi Formation), a été convoquée par sa direction pour un entretien préalable au licenciement. Ce qui lui est reproché ? D’avoir émis depuis plusieurs mois des alertes dénonçant un climat sexiste et raciste dans l’entreprise. Teldja, comme plusieurs autres salarié·e·s est victime de ces comportements. Rien ne lui est reproché sur son travail.
Le contexte politique entre la présidentielle et les législatives n’est pas étranger aux succès de participation aux manifestations du 1er mai. Il y avait là sans doute et avant tout la volonté de faire s’exprimer les colères et les attentes sociales qui ont été mises sous le boisseau par un second tour dont la seule finalité était d’éviter l’arrivée au pouvoir des fachos ripolinés et dédiabolisés. Il y avait dans les rues et dans les slogans l’envie de se rappeler au souvenir d’un Emmanuel Macron qui s’est dit « obligé » par le vote des Français, mais qui n’en fera rien.
Les travailleuses et travailleurs, les organisations syndicales, les associations et mouvements démocratiques, féministes, antiracistes qui avaient appelé à faire barrage à l’extrême droite et à sa candidate, ne peuvent qu’être soulagés de la voir échouer dans cette nouvelle tentative d’accéder au pouvoir au soir du premier tour. Soulagés, nous le sommes, mais tout autant inquiets.
À une semaine du second tour de la présidentielle, alors que le risque de voir l’extrême droite entrer à l’Élysée est bien réel, les manifestations se sont multipliées dans les universités ou dans les rues d’une cinquantaine de villes à l’appel d’une quarantaine d’organisations, dont la CGT.
On se souvient que parmi les premiers actes d’Emmanuel Macron à son arrivée à l’Élysée, la diminution des APL et la suppression de l’ISF ont contribué à lui forger l’image indélébile de « Président des riches ».
Qu’est-ce donc que la protection du secret des affaires ? La question mérite d’être posée à nouveau depuis qu’on a appris de la bouche de la ministre déléguée chargée de l’autonomie des personnes âgées, Brigitte Bourguignon, que le rapport de l’Inspection générale des Finances (IGF) et des Affaires sociales (IGAS) saisies par le gouvernement le 1er février dans le scandale Orpea ne seraient pas rendus publics car « couvert par le secret des affaires ».
La question du pouvoir d’achat domine les débats de la présidentielle. C’est le résultat de plusieurs années d’austérité salariale conjuguée à une inflation forte et durable. Désormais, le gouvernement ne peut s’y soustraire et s’il y a répondu jusqu’à présent par des primes pour sortir de la crise des Gilets jaunes ou des « chèques carburant », il ne peut plus se dérober à la question des salaires. C’est l’un des premiers enseignements que l’on peut tirer de l’annonce du dégel du point d’indice des fonctionnaires par Amélie de Montchalin.
Emmanuel Macron avait bien promis de ressortir des tiroirs le dossier de la réforme des retraites pour la présidentielle. Contraint par la mobilisation sociale de l’hiver 2019-2020 et la séquence de la pandémie d’ajourner sa mise en place, il n’a jamais fait mystère de son projet d’en faire un sujet de la campagne. Pas tant pour rouvrir le débat très conflictuel que pour obtenir une sorte de blanc-seing.