Le mouvement altermondialiste s’oppose depuis 30 ans aux accords de libre-échange. Que pense-t-il de la guerre commerciale engagée par Donald Trump à coups de droits de douane prohibitifs ? Réponses avec Nicolas Roux, de l’association Attac.
L’enseigne de vente à distance souhaite transférer chez ID Logistics les 322 salariés qui confectionnent et expédient les colis. Ceux-ci craignent des pertes d’avantages et une aggravation des conditions de travail. Ils se mobilisent, soutenus par la CGT et FO.
Une réunion se tient toute la journée ce mercredi pour négocier sur les conditions d’ouverture des magasins le dimanche. L’intersyndicale n’exclut pas une nouvelle grève, et prévoit déjà de lancer un droit d’alerte économique.
Le patron du Groupe Printemps détaille sa stratégie de développement. Jean-Marc Bellaiche souhaite quelques points d’ancrage à l’étranger pour doper la notoriété de la marque.
Les Galeries Lafayette annoncent la fermeture de deux magasins à Marseille en 2025, touchant 145 employés. Cette décision soulève des préoccupations sur l’avenir du secteur commercial dans la Cité phocéenne.
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Selon les syndicats, une réunion extraordinaire du Comité social et économique (CSE) de l’enseigne en difficulté, qui emploie 6 500 personnes, est prévue jeudi 16 janvier. Un scénario de relance – et non pas une vente – devrait y être discuté.
Le 1er juillet, 136 professionnels de vente de L’Oréal Luxe France seront transférés manu militari dans une filiale aux conditions salariales et sociales moins-disantes.
Année après année, la liste des magasins Carrefour transférés à des locataires ou des franchisés s’allonge. Une mutation du modèle économique qui concerne tout le secteur. Et inquiète les syndicats.
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Alors que les marques ont subit 6% de baisse des ventes lors de la période des promos de janvier, l’économiste Pascale Hébel analyse les mutations que subit le marché du textile depuis l’arrivée de l’e-commerce et de l’occasion.
Sans susciter de réactions fortes des pouvoirs publics, les plans sociaux se succèdent dans les magasins de vêtements et de chaussures des centres-villes et zones commerciales. Ainsi, 37 000 postes ont disparu en dix ans et l’hémorragie s’accélère depuis 2022.
Naf Naf a demandé son placement en redressement judiciaire pour faire face à « des arriérés de paiement de loyers » accumulés durant la période de Covid.
Face à la concurrence d’Internet et à l’inflation, les magasins d’habillement accusent une baisse continue de leurs ventes et souffrent de la flambée des loyers. Les fermetures de boutiques et les plans sociaux se multiplient : 3 000 emplois ont été supprimés depuis la fin 2022 et plus de 3 500 sont menacés.
Les soldes d’été commencent mercredi 28 juin, pour quatre semaines. Francis Palombi, président de la Confédération des commerçants de France (CDF), présente les enjeux auxquels doivent faire face les commerçants indépendants, tout en défendant fermement les soldes.
Faible marge, salaires modérés, approvisionnement local, participation des bénévoles : les supermarchés fondés par des coopératives de consommateurs résistent pour le moment à l’inflation alimentaire.
Mesure à visée environnementale, la disparition des tickets de caisse papier, initialement prévue le 1er avril, devrait intervenir en août ou septembre, a appris l’AFP dimanche 26 mars, de source ministérielle. Pas question de priver les consommateurs de ce « repère » en plein pic inflationniste.
Inflation, pandémie de Covid-19, concurrence avec la vente en ligne… Face à de nombreux problèmes, de nombreuses enseignes de prêt-à-porter ferment définitivement leurs portes
L’homme d’affaires bordelais Michel Ohayon va placer en redressement judiciaire les 26 magasins Galeries Lafayette qu’il contrôle en France « pour les protéger de toute attaque ».
Les 2 100 salariés de Go Sport, dont l’entreprise a été placé en redressement judiciaire, craignent de connaître le même sort que ceux de Camaïeu, avec qui ils partagent le même actionnaire : Michel Ohayon, dont les pratiques financières font aujourd’hui l’objet d’une enquête pour abus de bien social.
Débattu au Sénat ce mardi 24 janvier, le projet de loi relatif aux JO 2024 prévoit d’autoriser les commerces à ouvrir les dimanches de juin à septembre. Cette mesure leur permettrait de grossir leur chiffre d’affaires grâce aux millions de visiteurs attendus. Mais la mairie de Paris s’y oppose.
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Pour 1,8 million d’euros, Sébastien Bismuth a récupéré la marque de prêt-à-porter placée en liquidation le 28 septembre. Il évoque une relance «avec des ambitions plus modestes».
Déjà en difficulté, le secteur pourrait subir de nouvelles faillites. Une étude du cabinet de conseil Eight Advisory, menée avec Alliance Commerce, met en évidence les différents problèmes auxquels les commerçants sont confrontés, dont la hausse des prix des loyers et des matières premières.
Placée en liquidation judiciaire le 28 septembre, la chaîne de prêt-à-porter a présenté lundi son plan de sauvegarde de l’emploi, qui prévoit quelque 2.100 licenciements. La prime de 6.000 euros, dont la moitié sera exonérée d’impôts et de cotisations, doit être versée en plus de l’indemnité de licenciement.
Depuis plusieurs années, les enseignes d’habillement s’étiolent. Si certaines ont souffert de la pandémie, la branche est aussi en proie à une mutation douloureuse.
Deux ans après un premier redressement judiciaire, suivi d’un rachat, les 2 600 salariés de l’enseigne de prêt-à-porter se retrouvent dans la même situation. La CGT, qui craint « des centaines de licenciements supplémentaires », appelait à la grève ce 12 septembre.
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Les élus des grandes villes ont obtenu mardi que les endroits où sont préparées les commandes soient considérés comme des entrepôts, et non des commerces. Ce qui rendra leur implantation plus difficile.
La justice a reconnu le caractère abusif du licenciement de neuf salariés. Un espoir pour la cinquantaine de collègues en attente de leur jugement.
En grève nationale il y a une semaine, les salariées de Marionnaud, en très grande majorité payées au Smic, espèrent que les négociations annuelles obligatoires aboutiront à une revalorisation digne.
Amazon, dont la plateforme de vente en ligne a participé à la fermeture de nombreuses librairies, va fermer ses librairies physiques et magasins temporaires pour investir plus dans ses autres enseignes (nourriture et vêtements), et dans ses technologies de vente en boutique.
