À Saint-Brieuc, mobilisés pour la défense de la fonction publique #Fonction publique
Ce 8 mai 2025, comme tous les 8 mai depuis 2018, la CGT Grand-Est s’est associée au syndicat allemand DGB Südhessen afin de commémorer la fin de la Seconde Guerre mondiale. Pour les 80 ans de l’armistice, la cérémonie a eu lieu au mémorial du Struthof en Alsace, seul camp de concentration à se situer en France.
Alors que la France et l’Europe prétendent déballer le tapis rouge aux scientifiques américains victimes de l’obscurantisme sous l’ère Trump, une intersyndicale dénonce une insupportable hypocrisie au regard de l’état exsangue de la recherche en France.
Alors que Benyamin Nétanyahou intensifie toujours plus les bombardements sur Gaza, et affirme préparer « la conquête » de l’enclave, la France annonce qu’elle va reconnaître l’État de Palestine. Une conférence de l’ONU réunira en juin la communauté internationale pour tenter d’arrêter le conflit, l’occupation et la colonisation. Un espoir pour Hala Abou Hassira, l’ambassadrice de Palestine en France.
Quelque 100 000 manifestants ont battu le pavé parisien pour la paix, les libertés et la justice sociale et contre l’extrême droite, ce 1er mai 2025 dans une ambiance joyeuse. Une nouvelle journée de mobilisation en faveur de l’abrogation de la réforme de la retraite à 64 ans est prévue le 5 juin 2025.
Le géant de la sidérurgie a annoncé un plan de 636 suppressions de postes, dont un grand nombre dans les Hauts-de-France, plus particulièrement à Dunkerque. La réplique des salariés se prépare.
À l’occasion de la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail le 28 avril, la Vie Ouvrière met en ligne un entretien publié dans son trimestriel en juillet 2022 avec Véronique Daubas-Letourneux, enseignante-chercheuse à l’École des hautes études en santé publique et auteure d’Accidents du travail – Des morts et des blessés invisibles (Bayard Éditions, 2021).
La CGT appelle à manifester devant les hôpitaux partout en France, à l’occasion de la Journée mondiale pour la santé et la sécurité au travail, ce lundi 28 avril. À Paris, rendez-vous est donné à 11 heures, devant le center hospitalier universitaire (CHU) Saint-Antoine, dans le 11e arrondissement. Ces initiatives doivent contribuer à rendre visible un fait social méprisé des dirigeants de ce pays.
Comment répondre à la nouvelle donne mondiale imposée par le brusque relèvement des droits de douanes décidé par Donald Trump ? C’était l’ordre du jour proposé aux centrales syndicales reçues, le 18 avril, par les ministres du Travail, des Comptes publics, du Commerce extérieur, de l’Industrie, et la secrétaire d’État chargée du numérique. La CGT avait emmené avec elle un document intitulé « 16 mesures d’urgence contre la guerre commerciale », dont Virginie Neumayer, membre de la direction confédérale de la CGT, a bien voulu nous détailler l’esprit.
Dénoncer l’assassinat de plus de deux cents journalistes palestiniens en dix-huit mois. Tel était l’objectif des mobilisations organisées à Paris et Marseille par plusieurs syndicats et associations, le 16 avril. Dans la capitale, deux cent journalistes se sont allongés sur les marches de l’opéra Bastille pour dire leur solidarité avec leurs collègues tués par l’armée israélienne.
Boss, chef d’entreprise, dirigeant, entrepreneur, « taulier »… Ou tout simplement patron. Que recouvrent le patronat et son 1,8 million de chefs d’entreprise ? Taille des sociétés, parcours, revenus des dirigeants… Les réalités sociologiques des patrons peuvent être très différentes selon qu’on dirige une TPE ou une très grande entreprise. Tour d’horizon.
Directeur de recherche au CNRS, François-Xavier Dudouet a étudié les sociétés par action et les dirigeants des très grandes entreprises. Il réagit à la prise de position du patron de LVMH Bernard Arnault, qui s’est publiquement opposé à une hausse de l’imposition sur les très grandes sociétés. Le sociologue nous livre une description des profils et parcours des grands dirigeants, de leur accession aux plus hautes fonctions par le diplôme et la carrière jusqu’à leur rapport à l’enrichissement devenu fou.
Des centaines de personnes se sont rassemblées, ce samedi 12 avril, sur la Place de la République à Paris à l’appel de la CGT et de SOS Racisme et de diverses associations pour réaffirmer leur attachement à l’Etat de droit, au lendemain des remises en cause par nombre de responsables politiques de la décision de justice qui a condamné Marine Le Pen à cinq ans d’inéligibilité. Des rassemblements étaient organisés partout en France.
Malgré une arrogante santé financière, le géant mondial du verre annonce une restructuration européenne affectant 556 postes en France, dont 316 suppressions d’emplois.
A Mayotte, les salariés de l’entreprise de BTP Colas se battent depuis des semaines pour réclamer une « prime Chido », du nom du cyclone qui a ravagé l’archipel en décembre. Plus généralement, la CGT Mayotte revendique un alignement sur le reste de la France des droits sociaux et du droit du travail, dans ce 101e département français.
L’ouverture à la concurrence de la Régie autonome de transports parisiens (RATP) se poursuit. Le 10 avril, le conseil d’administration d’Île-de-France Mobilités (IDFM) devrait voter l’attribution de 37 lignes de bus à Paris et en proche banlieue aux sociétés Transdev et ATM.
Censée encourager la compétitivité des entreprises, la loi de simplification économique examinée jusqu’au 11 avril à l’Assemblée nationale risque en réalité de réduire les droits des salariés mais aussi de détricoter un peu plus les normes environnementales. Une trentaine de comités consultatifs, où siègent les syndicats, pourraient être purement et simplement supprimés.
Le 24 mars, les douanières et douaniers ont assisté à la traditionnelle grand-messe de la présentation des résultats de l’année 2024. L’occasion, pour le directeur général et la Ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin de féliciter l’engagement sans failles des agents, mais, une fois de plus, sans donner suite à aucune de leurs revendications pourtant urgentes et vitales.
La CGT a présenté son manifeste pour le droit au logement à l’occasion des assises nationales du logement, organisées le 2 avril 2025 à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Le syndicat veut faire de ce droit fondamental un enjeu de ses luttes.
Première étape d’une série de mobilisations, le rassemblement du 3 avril à Paris, devant le ministère de l’économie et des finances portait trois mots d’ordre : la défense des services publics, l’augmentation des salaires et la réaffirmation du rejet de la réforme des retraites. Prochain temps fort revendicatif : le 1er mai, dans le cadre de la fête internationale des travailleurs. Reportage.
Le 24 février 2025, le comité social et économique (CSE) d’Eurokera Château-Thierry (02) était informé d’un plan de 83 suppressions d’emplois. En même temps, dans le même groupe, Keraglass annonçait 77 autres licenciements à Nemours. Sur l’un et l’autre site les actions de grève se multiplient depuis. Gros plan sur les luttes en cours contre un désastre industriel. Une manifestation pour défendre les emplois chez Keraglass a lieu le 27 mars à Nemours en Seine et Marne.
Alors que la pauvreté concerne aujourd’hui en France quelque 11 millions de citoyens, la CGT a souhaité s’interroger sur son action dans la lutte contre ce fléau. Le débat contradictoire et sans filtres du 18 mars avec des acteurs spécialistes de cette question a permis d’aboutir à ce constat partagé : la nécessité de sortir de la société libérale capitaliste et de sa gouvernance par les algorithmes.
Huit organisations syndicales lancent une campagne commune de sensibilisation à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie au travail. L’initiative, dans la continuité du barrage contre l’extrême-droite lors des élections législatives de juin 2024, est de salubrité publique tant la parole haineuse s’est libérée.
Coupes budgétaires drastiques, licenciement de milliers d’employés fédéraux, destruction ciblée de services publics… Donald Trump a un projet clair : il veut faire des économies et il a l’intention d’aller vite. Mais il va devoir faire face à deux obstacles : le pouvoir des juges et la voix des travailleurs. Car les syndicats américains n’ont pas l’intention de le laisser faire.
Les négociations annuelles obligatoires (NAO) ont déclenché des actions unitaires hebdomadaires dans l’ensemble du groupe Thales depuis deux mois. Des résultats historiques demeurent sans retombées positives sur les salaires, la R&D et l’emploi. Le 13 mars à Elancourt (78), ils manifestaient avec leurs collègues de Airbus Defense & Space.