5 raisons de se syndiquer à l’Ugict-CGT #Syndicalisme
L’urgence est à l’organisation collective !
L’urgence est à l’organisation collective !
Se syndiquer, c’est aussi et surtout faire entendre sa voix et retrouver son pouvoir d’agir et s’organiser.
Les idées d’extrême-droite progressent dans la société et sur les lieux de travail, et ce même dans le secteur public. Cela a des conséquences directes sur de nombreux·ses salarié·es, allant d’un mal-être accru au travail à une détérioration grave de la santé mentale.
Le 16 mai dernier, se sont tenues les Rencontres Options sur la thématique suivante : “violences sexistes : la face cachée du travail”
Autour de trois tables rondes, expertes, chercheuses, syndicalistes et représentantes d’associations, confrontent leurs expériences et solutions pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles sur les lieux de travail.
L’organisation des Jeux olympiques et paralympiques en France est connue depuis 2015, mais les entreprises et administrations ont traîné des pieds pour aborder la question avec leurs manageur·es et avec les représentant·es syndicaux ; quelle organisation du travail pendant les J.O.P ? Avec, ou sans la consultation des équipes ?
Avec le retournement spectaculaire dans l’ordre d’arrivée des partis entre le premier et second tour, les résultats des élections législatives resteront un moment inédit de l’histoire politique de la Ve République.
« Intelligence artificielle : quel avenir pour le travail qualifié ? », une journée d’étude de l’Ugict-CGT enregistrée en public dans le patio de la CGT à Montreuil.
L’extrême-droite est un poison mortel pour notre République, pour les travailleuses et les travailleurs mais aussi pour l’environnement. Le 7 juillet 2024 nous pouvons voter pour la défense de l’environnement.
L’extrême-droite est un poison mortel pour notre République, notre démocratie et pour les travailleuses et les travailleurs. Le 7 juillet 2024 nous pouvons voter pour la sauvegarde de notre assurance chômage.
L’extrême-droite est un poison mortel pour notre République, notre démocratie et pour les travailleuses et les travailleurs. Le 7 juillet 2024 nous pouvons voter pour la démocratie.
D’un côté, des besoins exponentiels ; de l’autre, des effectifs qui n’évoluent pas assez vite, à l’instar des salaires. Partout, les moyens manquent et les files d’attente s’allongent. Mobilisée le 23 mai, la profession veut faire respecter ses spécificités et sa qualification.
Une campagne marquée par la violence, la désignation de migrants comme boucs émissaires, la menace d’austérité et la montée de l’extrême droite ont donné des résultats mitigés dans tous les États membres.
Le risque d’arrivée au pouvoir de l’extrême-droite met en danger le service public, nos conditions de travail et ce qui fait le cœur de nos missions : notre attachement aux valeurs du service public (égalité, continuité, neutralité).
Les résultats des élections législatives anticipées auront des conséquences pour l’ensemble des salariés. Alors qu’un parti d’extrême droite risque d’arriver au pouvoir, ce qui n’était pas arrivé en France depuis la Seconde Guerre mondiale avec le régime Pétain, quelques précisions juridiques sont nécessaires.
Parce qu’à circonstances exceptionnelles, décisions exceptionnelles, certain·es camarades peuvent se poser des questions quant au choix de la CGT d’appeler à voter pour le programme du Nouveau Front Populaire. Dans les entreprises et dans les administrations, la CGT et son Ugict se sont mobilisés dans ce sens, et il est arrivé que nous recevions des réponses de directions ou de collègues qui nous questionnent, et nous reprochent ce choix.
La CGT reste indépendante, mais pas neutre face au péril de l’extrême-droite.
« J’ai envie de jeter l’éponge » : de nombreux agents et fonctionnaires de l’environnement se disent très inquiets d’une victoire du RN aux législatives.
Des décennies de casse ont effacé la présence de l’État auprès de chacun et chacune. Il est encore de temps réagir ! Un entretien avec Claire Lemercier, historienne, coautrice de La valeur du service public*.
Décryptage des mesures proposées par le Rassemblement National, Renaissance et le Nouveau Front Populaire, pour nos salaires.
Les élections législatives des 30 juin et 7 juillet 2024 pourraient voir l’extrême-droite arriver au pouvoir en France. Il s’agirait d’un changement politique radical qui remettrait en question les principes républicains du service public.
Le 28 mai, la Cgt a lancé son plan d’action pour une réindustrialisation écocompatible. C’est aussi une urgence démocratique, comme en témoigne le vote Rn dans les bassins d’emploi frappés par la désindustrialisation.
Un tiers de ces professions a voté pour les partis d’extrême droite aux élections européennes. Consacrée à leurs opinions et attentes, la 9e édition du baromètre Ugict-Secafi donne des clés pour comprendre les ressorts de ce vote.
Féministe, le Rassemblement national ? On aura tout vu ! C’est pourtant ce qu’il tente de faire croire. Entre les élections européennes de 2019 et celles de 2024, il a gagné dix points dans l’électorat féminin, passant de 20 % à 30 % (Ipsos)*. Le 23 juin, des organisations féministes, dont la Cgt, ont appelé à manifester dans tout le pays pour faire barrage à l’extrême droite.
L’union générale des ingénieurs, cadres et techniciens (Ugict) CGT a présenté, mercredi 19 juin, son baromètre des opinions et attentes des professions techniciennes et intermédiaires. Le syndicat alerte sur le profond déclassement qui touche ces catégories socioprofessionnelles.
Le RN est un danger pour les femmes et notamment pour les ingés, cadres et techs.
La CGT et son Ugict appellent à se mobiliser le 23 juin 2024 dans les rassemblements et manifestations féministes contre l’extrême-droite et à voter les 30 juin et 7 juillet 2024 contre l’arrivée de l’extrême-droite au pouvoir et pour le programme du Nouveau front populaire.
Il y a un risque que l’extrême-droite arrive au pouvoir. Or, celle-ci n’a jamais défendu les droits des salarié·es, et en particulier des ingés, cadres et techs en tentant de les opposer au reste des travailleur·euses.
Cependant, rien n’est écrit d’avance, et la CGT met tout en œuvre pour que l’extrême droite n’arrive pas au pouvoir.
Les professions intermédiaires : invisibilisées et déclassées
Le 19 juin 2024, l’Ugict publie une étude sur les “Opinions et attentes des techniciens et professions intermédiaires”. Enseignement principal de celle-ci, réalisée auprès des salariés des secteurs privé et public : 72 % déclarent que leur première priorité reste le salaire, en hausse de 16 points en trois ans, et l’équilibre des temps de vie.
Au lendemain de la dissolution de l’Assemblée nationale, la CGT demande au gouvernement de renoncer, dès à présent, à un projet soumis à la concertation depuis avril. Mobilisation le 20 juin.
La question des retraites sera le sujet central de cette élection législative
Arrivé partout en tête des élections européennes, hormis dans quelques grandes villes, le Rassemblement national s’est positionné comme le premier parti des salariés. Son audience, inversement proportionnelle au niveau de diplôme, s’appuie sur de multiples ressorts. Décryptage.