NAO : l’inflation persiste, pas les hausses de salaires #Salaires
L’analyse de 421 accords de Nao signés début 2024 indique des augmentations générales, mais aussi individuelles, moindres que l’année précédente.
L’analyse de 421 accords de Nao signés début 2024 indique des augmentations générales, mais aussi individuelles, moindres que l’année précédente.
À quelques mois des Jeux olympiques et paralympiques, l’ancien secrétaire général de la Cgt témoigne de cinq ans de présence syndicale au sein des instances de préparation. Les droits des travailleurs ont été mieux pris en compte… sans changer fondamentalement les règles du jeu.
En février, Eurocadres a lancé un cycle d’ateliers sur les conditions de travail et la mobilité des chercheurs en Europe. Premier tour de table.
L’open space n’y suffisant plus, de nombreuses entreprises instaurent un système de rotation des salariés sur des postes de travail non attitrés. Dans la pratique, cette flexibilité rigidifie les organisations du travail et explose les collectifs.
Alors que la fièvre électorale est à son comble et que les tracteurs bloquent les rues principales de Bruxelles, les députés européens devaient demander aux États membres et à la Commission de relancer les discussions sur la directive relative aux travailleurs des plateformes. De notre côté, nous continuons à demander au gouvernement allemand de cesser de bloquer la directive sur le développement durable et le devoir de vigilance des entreprises.
La mobilisation des femmes s’amplifie en France et dans le monde : bataille contre la réforme des retraites, luttes salariales, mobilisation contre les violences sexistes et sexuelles… Partout l’aspiration à l’égalité grandit, y compris dans les entreprises et les administrations.
En 2023, la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) du ministère du Travail a eu 30 ans. L’occasion, pour elle, de revenir sur les grandes tendances qui ont transformé le travail en France depuis les décennies 1980 et 1990. Illustration en quatre graphiques.
Le 8 mars, c’est la journée de lutte internationale pour les droits des femmes.
Ni la “journée de la femme”, ni la “journée du droit des femmes”, le 8 mars est l’occasion de rappeler que les inégalités, au travail comme dans la vie, perdurent entre les femmes et les hommes. Et qu’il est temps que ça cesse !
Lors des Négociations annuelles obligatoires, les propositions de la direction ont été rejetées par les salariés. Elles interviennent après l’annonce d’un plan de suppression de 1500 emplois dans le monde, dont 293 en France.
Le premier ministre Gabriel Attal a annoncé la généralisation du recours à la semaine « en » quatre jours dans la fonction publique. Une mission parlementaire a été lancée. Les syndicats critiquent une version dégradée de cette mesure.
La mobilisation des femmes s’amplifie en France et dans le monde : bataille contre la réforme des retraites, luttes salariales, mobilisation contre les violences sexistes et sexuelles… Partout l’aspiration à l’égalité grandit, y compris dans les entreprises et les administrations.
Le 8 mars est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, une journée de grève féministe de toutes et tous pour revendiquer et gagner l’égalité réelle au travail et dans la vie.
Près de 92 % des Français considèrent que les femmes et les hommes ne sont pas traités de la même manière dans au moins une sphère de la société… En particulier dans celle du travail, montre un récent rapport du Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes.
Plus de 3,2 millions d’actifs, soit deux salariés de bureau sur cinq, travaillent dans ces espaces de travail collectif ouverts. Avec des conditions de travail ambivalentes, mais dégradées dès lors que le seul objectif est la rationalisation de l’espace à des fins économiques.
Immersion dans un stage Ugict atypique, qui via des méthodes d’éducation populaire, revisite cette démarche syndicale alliant implication individuelle et action collective.
En mettant notamment l’expertise nucléaire sous pression de la décision politique, ce projet aurait un double impact : une perte d’indépendance et de transparence, dangereuse pour la sécurité des populations.
Temps de crise où la richesse s’accroît ? c’est la crise de la répartition des richesses ! Le travail de qualité produit la richesse, la qualification produit le travail de qualité !
Secrétaire générale de l’Ugict CGT (organisation des ingénieurs, cadres et techniciens de la CGT), Caroline Blanchot a succédé à Sophie Binet en 2023. Elle trouve dans son engagement syndical un moyen de faire respecter et d’améliorer les droits des salariés, tout en changeant la société.
Agriculteur·ices, professeur·es, agent·es de la RATP et d’EDF… la colère monte de plus en plus concernant la perte générale de pouvoir d’achat. Dans de telles circonstances, des hausses générales de salaires apparaissent comme une urgence !
La cour d’appel de Lyon reconnaît le préjudice d’anxiété subi par un salarié de Renault Trucks qui a travaillé dans un établissement amianté de Vénissieux. L’ensemble du site est concerné, sans distinction entre les ateliers et les bureaux.
Alors que s’accélère la négociation interprofessionnelle sur le nouveau « pacte de la vie au travail », c’est une réalité peu connue : de nombreux cadres de plus de 55 ans inscrits à France Travail le sont depuis plus deux ans.
En 2022, les États-Unis ont connu 23 conflits syndicaux qualifiés de majeurs, car concernant plus de 1 000 salariés, contre 16 par an, en moyenne, durant les deux décennies précédentes. Que se passe-t-il outre-Atlantique ? Entretien avec Donna Kesselman, sociologue du travail, professeure à l’université Paris-Est Créteil et spécialiste des droits sociaux aux États-Unis.
Plus de 2000 Padhue menacés de perdre leur emploi vont pouvoir le garder… via un Cdd de 13 mois toujours sous payé.
Le 14 décembre dernier, se sont tenues les Rencontres Options sur la thématique suivante : Climat et Travail, transformer le travail pour répondre à l’urgence. Cette journée a permis de débattre des possibilités de bifurcation pour les salarié·es et les syndicats, afin de faire face à l’urgence climatique.
Résultats provisoires et valides sous réserve d’analyses complémentaires.
Les personnes interrogées, en situation de télétravail, ont été questionnées sur leur perception de la surveillance organisationnelle et sur le contrôle managérial.
La loi immigration, ou “loi Darmanin”, aurait pu être écrite par le Rassemblement National.
Remise en cause du droit du sol, précarisation accélérée (notamment des femmes et des familles), préférence nationale … Cette loi xénophobe et allant à l’encontre de nos valeurs, est par ailleurs une aubaine pour le patronat.
En stigmatisant et précarisant toujours plus les travailleur·ses sans papier, les patrons pourront se permettre de les exploiter toujours davantage, ouvrant la porte à un dumping social sans précédent.
C’est pourquoi la CGT et son Ugict appellent à se mobiliser le dimanche 21 janvier 2024.
À partir d’une enquête menée à la frontière franco-italienne, dans les Alpes, l’anthropologue Didier Fassin et la sociologue Anne-Claire Defossez montrent que la théorie de « l’appel d’air », utilisée pour justifier le durcissement des lois sur l’immigration, est un mythe.
Entre renégociations d’accords d’entreprises et réorganisations des lieux de travail, l’Observatoire du télétravail publie sa première enquête. Cette modalité de travail est plébiscitée par celles et ceux qui le pratiquent, à l’exception des salariés en forfait-jours.
Dans l’imaginaire collectif, ces salarié.e.s sont supposé.e.s bénéficier du fameux ascenseur social. Le dernier sondage Ugict-CGT/Viavoice/Secafi affirme pourtant l’inverse et pose la question de leur déclassement, avec deux tiers des sondé.e.s pour lesquels le pouvoir d’achat ne serait pas garanti.
Le 14 décembre dernier, se sont tenues les Rencontres Options sur la thématique suivante : Climat et Travail, transformer le travail pour répondre à l’urgence. Cette journée a permis de débattre des possibilités de bifurcation pour les salarié·es et les syndicats, afin de faire face à l’urgence climatique.
La première table ronde des Rencontres d’Options sur le travail et la transition climatique, « Un mode de production à faire bifurquer », a interrogé la crise systémique du capitalisme. Comment s’en sortir ?